WAKE (27 min)
Date de sortie : Prévue pour 2024
Genre : Science-fiction / Thriller / Musical
Réalisateur : Christophe Sivager
Bande originale : THE DARK MATTER
Lien YouTube : Lighting picture production cinéma
Visa d'exploitation n° 161.807
WAKE (27 min)
Date de sortie mini-série : Prévue pour 2024
Genre : Science-fiction / Thriller / Musical
Réalisateur : Christophe Sivager
Bande oroginale : THE DARK MATTER
Lien YouTube : Lighting picture production cinéma
Lighting picture production présente Wake . Un film de christophe sivager . Joseph Stopin . Joyce Guezo . Adriana Dagher . hervé carrascosa . Valentin Clair
Tom Maury‐Pavan . Mendrika Andriamalala . Effets spéciaux Christophe sivager . Consultant effets spéciaux 3D Nicolas girard . Compositing et animation Jérémy Sivager
architecte 3D Akira kimojo . Modélisateur 3D Anthony Goulet . Designer sonore Sébastien frank . Mixeurs son Nicolas BERTAUlt . Jérémy Sivager . Boris Daubert . Producteurs exécutifs Christophe Sivager . Joseph stopin . Casting NINA SIMON . Effets spéciaux numériques lighting picture SFX laboratoire . Matériel image et machinerie Puzzle Vidéo
Studio de mixage et effets sonores
blackout studio (paris) . Une production lighting picture production blackout media ©2024
Trailer officiel
Lighting picture production présente WAKE . Un film de CHRISTOPHE SIVAGER . JOSEPH STOPIN . JOYCE GUEZO . ADRIANA DAGHER . HERVÉ CARRASCOSA . VALENTIN CLAIR . TOM MAURY‐PAVAN . MENDRIKA ANDRIAMALALA . Effets spéciaux CHRISTOPHE SIVAGER . Consultant effets spéciaux 3D NICOLAS GIRARD . Compositing et animation JÉRÉMY SIVAGER . architecte 3D AKIRA KIMOJO . Modélisateur 3D ANTHONY GOULET . Designer sonore SÉBASTIEN FRANK . Mixer son NICOLAS BERTAULT . JÉRÉMY SIVAGER . BORIS DAUBERT . Producteurs exécutifs CHRISTOPHE SIVAGER . JOSEPH STOPIN . Casting NINA SIMON . Effets spéciaux numériques LIGHTING PICTURE SFX LABORATOIRE . Matériel image et machinerie PUZZLE VIDÉO . Studio de mixage et effets sonores BLACKOUT STUDIO (PARIS) . Une production lighting picture production blackout media ©2023
TRAILER OFFICIEL
Lighting picture production présente WAKE . Un film de CHRISTOPHE SIVAGER . JOSEPH STOPIN . JOYCE GUEZO . ADRIANA DAGHER . HERVÉ CARRASCOSA . VALENTIN CLAIR . TOM MAURY‐PAVAN . MENDRIKA ANDRIAMALALA . Effets spéciaux CHRISTOPHE SIVAGER . Consultant effets spéciaux 3D NICOLAS GIRARD . Compositing et animation JÉRÉMY SIVAGER . architecte 3D AKIRA KIMOJO . Modélisateur 3D ANTHONY GOULET . Designer sonore SÉBASTIEN FRANK . Mixer son NICOLAS BERTAULT . JÉRÉMY SIVAGER . BORIS DAUBERT . Producteurs exécutifs CHRISTOPHE SIVAGER . JOSEPH STOPIN . Casting NINA SIMON . Effets spéciaux numériques LIGHTING PICTURE SFX LABORATOIRE . Matériel image et machinerie PUZZLE VIDÉO . Studio de mixage et effets sonores BLACKOUT STUDIO (PARIS) . Une production lighting picture production blackout media ©2023
SYNOPSIS DU FILM
Dans un futur proche, à une époque où l’humanité dépend entièrement de l’intelligence artificielle où les machines parlent et réfléchissent à la place de l’homme, un jeune homme de 23 ans, Julien Guerros, se réveille comme chaque matin sous le clairon de son meilleur ami, l’iFly X Pro, un robot qui chaque jour s’occupe de tout pour lui " faciliter " son quotidien. Mais ce matin-là, alors que Julien sort de son appartement accompagné de son robot pour rejoindre l’université, il se retrouve nez à nez avec " quelque chose " qui va faire basculer son quotidien monotone dans une chasse à l’homme ou la survie deviendra son ultime préoccupation. Dans sa fuite et son acharnement à rester en vie, il va alors découvrir qu’un immense projet s’est progressivement et silencieusement mis en place en secret.
NOTE D’INTENTION
Comme son titre l’indique « WAKE » est une histoire où notre société est à l’aube d’un basculement technologique décisif pour l’humanité. Pour cause, l’intelligence artificielle, est une chose nouvelle qui est en train de se réveiller, qui prend de plus en plus de place dans la vie des hommes sur terre et qui, petit à petit, s’immisce dans notre quotidien, dans notre culture, dans notre façon de procéder. A travers ce film, l’auteur dresse le constat d’une société moderne ou la technologie s’est développée trop rapidement et a, de ce fait, dévoilé ses effets pervers, la violence, l’agressivité et la dépendance à cette même technologie. L’idée du film est de transposer une part factuelle de notre actualité dans un univers anticipé sur la base de cette même actualité. Un monde où l’issue émanant de dérives pourrait être un scénario envisageable. Le spectateur est invité à comprendre que la fin du film est une alternative sur la question de sa propre existence en tant qu’être humain. Enfin comme son nom l’indique, « WAKE » est un film qui sonne comme un réveil après un mauvais rêve…
On ne peut pas parler du film sans évoquer la place prédominante qu’occupe la musique dans ce projet. Tout d’abord parce que l’auteur de l’histoire et le musicien qui a réalisé la bande originale du film est la même personne. D’ailleurs, avant de devenir un film, « WAKE » était un album musical. Pour l’anecdote, la condition pour que le film soit produit était que les images soient tournées et montées au service de la bande-son originale. Ce qui est le cas. Celui-ci raconte son histoire en utilisant deux points de vue prédominants. Celui des machines et le dialogue offert par la musique qui accompagne les images. L’intégralité du concept sonore repose sur la composition d’une musique électro-orchestrale. Un mélange de sonorités électroniques avec des sons issus d’un orchestre, le tout subtilement mélangé pour offrir un cocktail sonore coloré, puissant et riche en dynamisme. Si le film vous parle, souvenez-vous de cette phrase dite par l’auteur et le compositeur de « WAKE » : « Faire un clip sur 40 minutes de musique, c’est impossible, à ce stade cela s’appelle un film. Alors pourquoi ne pas oublier le clip et se lancer dans la réalisation d’un film qui parlerait de l’essence même de l’Album ».
Quelques inspirations pour la réalisation et la direction artistique du film : Vous ne louperez sans doute pas un fort clin d’œil à « La mouche » de David Cronenberg, qui intervient au niveau de la musique dès la première seconde de l’ouverture du film. Il y a de toute évidence une inspiration Kubrickéenne sur la façon de traiter le rapport entre le montage des images et la musique, notamment avec la référence du film « 2001 l’odyssée de l’espace » sortie en 1969. Enfin, une des séquences de la fin a été inspirée du film « Abyss » de James Cameron (1989) pour son habileté et son génie à délivrer un message poignant de manière simple et particulièrement efficace après plus de deux heures d’effets spéciaux.
En conclusion, on peut dire que « WAKE » est un concept visuel et sonore. La science-fiction offre l’opportunité d’ouvrir un champ philosophique plus large sur notre condition d’être humain, sur notre société et nos agissements. Il est alors possible d’offrir au public un spectacle immersif visuel et sonore tout en l’encourageant à sortir de la salle avec de nombreuses questions. L’ensemble des créateurs du projet pense unanimement qu’il est plus agréable de réfléchir à toutes ces questions à travers une œuvre artistique qui n’a pour vocation que de suggérer. Libre à chacun d’en faire son interprétation et d’en tirer ce qu’il souhaite. L’important est que le spectateur ressente des émotions.
ÉQUIPE TECHNIQUE / ARTISTES
THE DARK MATTER
Compositeur de la bande originale
COLINE MAYLIN
Première assistante réalisateur
THÉO LAURENT
Second assistant réalisateur
DAPHNÉ PAROT
Artiste maquilleuse et maquilleuse SFX
FIONA JURKEW
Maquilleuse
SÉBASTIEN FRANK . CAMILLE DEJONG . BORIS DAUBERT
Sound designers / Mixeurs son
ANTHONY GOULET . AKIRA KIMOJO
Architecte / Modélisateur 3D
JÉRÉMY SIVAGER
Compositing / Animation / étalonnage film
CHRISTOPHE SIVAGER
Cadrage / Montage / Photographie
LA MUSIQUE DU FILM
Sa place dans le film :
La bande originale du film composée et arrangée par l’artiste « THE DARK MATTER » à quasiment " le premier rôle " dans le film. En effet, le story-board et les images ont été conçues pour se mettre au service de la musique. Chaque séquence a été pensée pour correspondre et coller à un ou plusieurs titres de l’album « WAKE » qui a été réalisé et finalisé avant la mise en production du projet. En tout, cinq titres ont été choisis pour intervenir dans la bande originale du film. Le compositeur à librement réadapté chaque titre pour qu’ils aient une consonance plus cinématographique. Mais le travail sur la bande originale ne s’arrête pas là. Si ces cinq titres gardent leur style très électronique, le compositeur, apporte en enregistrant de la musique additionnelle, une dimension plus dense avec des sonorités orchestrales mélangées aux synthétiseurs.
Le point de vue musical :
La bande originale de « WAKE » est purement narrative. Elle raconte l’histoire en même temps que les images et indique au spectateur de manière directe ce qu’il se passe. Elle a également pour vocation de donner vie aux prises de vues et à leurs insuffler une âme. Elle permet au spectateur de ressentir ces nombreuses petites choses qu’il ne peut pas voir, mais qu’il peut interpréter grâce à elle. On peut considérer dans le cas de « WAKE » que la musique parle là où le dialogue est absent. On constate en effet que les personnages humains ne parlent pas. Il n’y a que les machines qui ont droit à la parole. La musique, en quelque sorte, remplace le dialogue du personnage.
Un concept sonore :
La bande originale de « WAKE » se démarque via la passerelle que fait le compositeur pour passer du son électronique au son orchestral. Si dans de nombreux cas celle-ci se fait par un morphing entre le synthétiseur et l’intervention des cordes et des cuivres, il arrive que ce passage survienne brutalement avec pour parti pris, un choc de sonorités.
Le compositeur :
THE DARK MATTER est initialement un compositeur de musique éléctro-funk et éléctro-disco. Passionné et fasciné depuis l’enfance par la musique de film, il puise son inspiration dans les bandes originales de compositeurs classiques comme, John Williams, Lalo Shiffrin ou encore Jerry Goldsmith en passant par Howard Shore, sans oublier Bernard Hermann. Néanmoins, il se passionne également pour des compositeurs plus avant-gardistes et qui utilisent déjà la musique électronique comme outil de composition depuis de nombreuses années comme John Carpenter et Hans Zimmer, entre autre. En 2015, il s’essaye officiellement à cette discipline en réalisant une première bande originale pour un court métrage historique. Il réalise par la suite une musique pour un documentaire animalier en 2018 avant de s’attaquer à l’album « WAKE » qui deviendra ensuite le film. Le titre de l’album « WAKE » a pour signification l’aboutissement de la recherche de son style musical et de l’éveil créatif. Il s’apercevra très vite par la suite que le titre « WAKE » colle parfaitement avec l’histoire et la dimension philosophique de l’album.
Synopsis du film
Dans un futur proche, à une époque où l’humanité dépend entièrement de l’intelligence artificielle où les machines parlent et réfléchissent à la place de l’homme, un jeune homme de 23 ans, Julien Guerros, se réveille comme chaque matin sous le clairon de son meilleur ami, l’iFly X Pro, un robot qui chaque jour s’occupe de tout pour lui " faciliter " son quotidien. Mais ce matin-là, alors que Julien sort de son appartement accompagné de son robot pour rejoindre l’université, il se retrouve nez à nez avec " quelque chose " qui va faire basculer son quotidien monotone dans une chasse à l’homme ou la survie deviendra son ultime préoccupation. Dans sa fuite et son acharnement à rester en vie, il va alors découvrir qu’un immense projet s’est progressivement et silencieusement mis en place en secret.
Note d’intention
Comme son titre l’indique « WAKE » est une histoire où notre société est à l’aube d’un basculement technologique décisif pour l’humanité. Pour cause, l’intelligence artificielle, est une chose nouvelle qui est en train de se réveiller, qui prend de plus en plus de place dans la vie des hommes sur terre et qui, petit à petit, s’immisce dans notre quotidien, dans notre culture, dans notre façon de procéder. A travers ce film, l’auteur dresse le constat d’une société moderne ou la technologie s’est développée trop rapidement et a, de ce fait, dévoilé ses effets pervers, la violence, l’agressivité et la dépendance à cette même technologie. L’idée du film est de transposer une part factuelle de notre actualité dans un univers anticipé sur la base de cette même actualité. Un monde où l’issue émanant de dérives pourrait être un scénario envisageable. Le spectateur est invité à comprendre que la fin du film est une alternative sur la question de sa propre existence en tant qu’être humain. Enfin comme son nom l’indique, « WAKE » est un film qui sonne comme un réveil après un mauvais rêve…
On ne peut pas parler du film sans évoquer la place prédominante qu’occupe la musique dans ce projet. Tout d’abord parce que l’auteur de l’histoire et le musicien qui a réalisé la bande originale du film est la même personne. D’ailleurs, avant de devenir un film, « WAKE » était un album musical. Pour l’anecdote, la condition pour que le film soit produit était que les images soient tournées et montées au service de la bande-son originale. Ce qui est le cas. Celui-ci raconte son histoire en utilisant deux points de vue prédominants. Celui des machines et le dialogue offert par la musique qui accompagne les images. L’intégralité du concept sonore repose sur la composition d’une musique électro-orchestrale. Un mélange de sonorités électroniques avec des sons issus d’un orchestre, le tout subtilement mélangé pour offrir un cocktail sonore coloré, puissant et riche en dynamisme. Si le film vous parle, souvenez-vous de cette phrase dite par l’auteur et le compositeur de « WAKE » : « Faire un clip sur 40 minutes de musique, c’est impossible, à ce stade cela s’appelle un film. Alors pourquoi ne pas oublier le clip et se lancer dans la réalisation d’un film qui parlerait de l’essence même de l’Album ».
Quelques inspirations pour la réalisation et la direction artistique du film : Vous ne louperez sans doute pas un fort clin d’œil à « La mouche » de David Cronenberg, qui intervient au niveau de la musique dès la première seconde de l’ouverture du film. Il y a de toute évidence une inspiration Kubrickéenne sur la façon de traiter le rapport entre le montage des images et la musique, notamment avec la référence du film « 2001 l’odyssée de l’espace » sortie en 1969. Enfin, une des séquences de la fin a été inspirée du film « Abyss » de James Cameron (1989) pour son habileté et son génie à délivrer un message poignant de manière simple et particulièrement efficace après plus de deux heures d’effets spéciaux.
En conclusion, on peut dire que « WAKE » est un concept visuel et sonore. La science-fiction offre l’opportunité d’ouvrir un champ philosophique plus large sur notre condition d’être humain, sur notre société et nos agissements. Il est alors possible d’offrir au public un spectacle immersif visuel et sonore tout en l’encourageant à sortir de la salle avec de nombreuses questions. L’ensemble des créateurs du projet pense unanimement qu’il est plus agréable de réfléchir à toutes ces questions à travers une œuvre artistique qui n’a pour vocation que de suggérer. Libre à chacun d’en faire son interprétation et d’en tirer ce qu’il souhaite. L’important est que le spectateur
ressente des émotions.
équipe technique / artistes
THE DARK MATTER
Compositeur de la bande originale
Coline Maylin
Première assistante réalisateur
Théo Laurent
Second assistant réalisateur
Daphné Parot
Artiste maquilleuse et maquilleuse SFX
Fiona Jurkew
Maquilleuse
Sébastien Frank . Camille Dejong . Boris Daubert
Sound designers / Mixeurs son
Anthony Goulet . AKIRA kimojo
Architecte / Modélisateur 3D
Jérémy Sivager
Compositing / Animation / étalonnage film
Christophe Sivager
Cadrage / Montage / Photographie
la musique du film
Sa place dans le film :
La bande originale du film composée et arrangée par l’artiste « THE DARK MATTER » à quasiment " le premier rôle " dans le film. En effet, le story-board et les images ont été conçues pour se mettre au service de la musique. Chaque séquence a été pensée pour correspondre et coller à un ou plusieurs titres de l’album « WAKE » qui a été réalisé et finalisé avant la mise en production du projet. En tout, cinq titres ont été choisis pour intervenir dans la bande originale du film. Le compositeur à librement réadapté chaque titre pour qu’ils aient une consonance plus cinématographique. Mais le travail sur la bande originale ne s’arrête pas là. Si ces cinq titres gardent leur style très électronique, le compositeur, apporte en enregistrant de la musique additionnelle, une dimension plus dense avec des sonorités orchestrales mélangées aux synthétiseurs.
Le point de vue musical :
La bande originale de « WAKE » est purement narrative. Elle raconte l’histoire en même temps que les images et indique au spectateur de manière directe ce qu’il se passe. Elle a également pour vocation de donner vie aux prises de vues et à leurs insuffler une âme. Elle permet au spectateur de ressentir ces nombreuses petites choses qu’il ne peut pas voir, mais qu’il peut interpréter grâce à elle. On peut considérer dans le cas de « WAKE » que la musique parle là où le dialogue est absent. On constate en effet que les personnages humains ne parlent pas. Il n’y a que les machines qui ont droit à la parole. La musique, en quelque sorte, remplace le dialogue du personnage.
Un concept sonore :
La bande originale de « WAKE » se démarque via la passerelle que fait le compositeur pour passer du son électronique au son orchestral. Si dans de nombreux cas celle-ci se fait par un morphing entre le synthétiseur et l’intervention des cordes et des cuivres, il arrive que ce passage survienne brutalement avec pour parti pris, un choc de sonorités.
Le compositeur :
THE DARK MATTER est initialement un compositeur de musique éléctro-funk et éléctro-disco. Passionné et fasciné depuis l’enfance par la musique de film, il puise son inspiration dans les bandes originales de compositeurs classiques comme, John Williams, Lalo Shiffrin ou encore Jerry Goldsmith en passant par Howard Shore, sans oublier Bernard Hermann. Néanmoins, il se passionne également pour des compositeurs plus avant-gardistes et qui utilisent déjà la musique électronique comme outil de composition depuis de nombreuses années comme John Carpenter et Hans Zimmer, entre autre. En 2015, il s’essaye officiellement à cette discipline en réalisant une première bande originale pour un court métrage historique. Il réalise par la suite une musique pour un documentaire animalier en 2018 avant de s’attaquer à l’album « WAKE » qui deviendra ensuite le film. Le titre de l’album « WAKE » a pour signification l’aboutissement de la recherche de son style musical et de l’éveil créatif. Il s’apercevra très vite par la suite que le titre « WAKE » colle parfaitement avec l’histoire et la dimension philosophique de l’album.